Vent de tempête à Biarritz, vent Marcel Hanoun.

Le vent se lève… il faut tenter de vivre…
L’air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs!
Envolez-vous, pages tout éblouies!
Rompez, vagues! Rompez d’eaux réjouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs!”